Aux Etats-Unis, les investissements des entreprises et l’immobilier résidentiel ne contribuent plus à la croissance. Dans la zone euro, le secteur manufacturier est toujours affecté par la faiblesse du commerce mondial. Ceci est le constat de Guy Wagner, chief investment officer de BLI - Banque de Luxembourg Investments, et son équipe, dans leur analyse mensuelle, les ‘Highlights’*.
Aux Etats-Unis, le caractère robuste de la consommation domestique soutenue par un marché de l’emploi favorable permet au PIB de maintenir encore un rythme de progression annualisé autour de 2%, alors que les investissements des entreprises et l’immobilier résidentiel ne contribuent plus à la croissance. «Dans la zone euro, le bas niveau de l’indicateur d’activité IFO en Allemagne témoigne...
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