Au moment où le quotidien français Libération lance sa nouvelle formule, Laurent Joffrin (cf. portrait), son PDG et directeur de rédaction, était l’invité des "Rencontre avec le 4e pouvoir", cycle de déjeuners conférences organisé par la CCBL à Paris. Il était interpellé par Amid Faljaoui, directeur des magazines francophones du groupe belge Roularta, vice-président et administrateur de la CCBL.
A son arrivée à la tête du quotidien en 2006, lors du plan de relance décidé par Edouard de Rothschild, Libération affichait un déficit de 15 millions d’euros et une dette de 30 millions. Après un plan social de 80 personnes sur 300 et grâce à la confiance des actionnaires — c’est là "le privilège des journaux" qui suscitent sympathie et soutien —, les comptes se sont rétablis....
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