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La notion d’aléas climatiques est souvent associée à celle de catastrophe naturelle. Les images du tsunami ou de l’ouragan Katerina ont profondément marqué les esprits. Cependant, la gestion de ces aléas ne se résume pas à ces évènements "extrêmes" ; de légères variations d’amplitude autour de ces moyennes saisonnières peuvent également avoir des conséquences importantes sur le résultat de l’entreprise. Une augmentation importante des "weather events" provoque une importante destruction de richesse. Les coûts de financement pour les sociétés et les gouvernements sont en croissance exponentielle, d’où une attention plus prononcée des investisseurs et des consommateurs sur cette problématique.
Comment les marchés financiers peuvent-ils aider à gérer ce risque climatique?
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