Trop froid, trop chaud, tropical, caniculaire, comme le temps cet été les marchés mondiaux semblent avoir le plus grand mal à trouver leur saison. Certes, et c'est réconfortant, les principales bourses sont parvenues durant ces mois d'été climatiquement perturbés et financièrement chahutés à rattraper l'essentiel du terrain perdu dans la seconde moitié d'un printemps pourtant très estival.
Mais on n'en sera pas moins passé, en séquences accélérées, par tous les scénarios macroéconomiques et financiers possibles pour en arriver à ce résultat. Les esprits, qui continuent de se focaliser sur les États-Unis, semblent pour autant toujours largement divisés quant à l'orientation des fondamentaux boursiers. La fébrilité des actions et l'orientation globalement favorable des...
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