Le gouvernement s'engage, dans un projet de loi déposé à la mi-septembre à la Chambre des Députés, à porter le montant des garanties annuels de l'Etat pour certains immeubles d'intérêt publics, de LUF 3 à 5 milliards. Cette augmentation du plafond de la loi de garantie est sévèrement critiquée par le Conseil d'Etat qui s'attend, dans un avenir rapproché, à une nouvelle surenchère et à un relèvement du plafond puisque le coût global des projets immobiliers que les autorités veulent faire passer sous le loi de garantie, est de LUF 23 milliards.
Le gouvernement fait "un pari sur l'avenir" indique la Haute Corporation qui émet "ses plus nettes réserves" sur le bien-fondé projet de loi signé de Robert Goebbels, le ministre des Travaux Publics. "Notre dette publique risque d'augmenter en...
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