On a eu chaud sur les marchés boursiers. A deux reprises en moins de trois semaines, les cours ont chuté à la suite d’importantes vagues de prises de bénéfice. Mais assez vite cependant, ils se sont repris, sans pour autant permettre aux principaux indices boursiers de remonter à leur sommet historique atteint au début de cette année.
C’est de Wall Street, et plus précisément du marché électronique du Nasdaq qu’est partie la tempête. Une première fois, c’est Microsoft, qui, accusé par la justice américaine d’entretenir un monopole dans ses secteurs d’activités, a servi de prétexte aux dégagements en quelques instants, l’indice composite du Nasdaq avait chuté de 13%. Mais il n’a pas fallu bien longtemps pour assister à son redressement. Avant la clôture de la même séance chahutée...
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