Compte tenu de l’environnement de taux zéro, les investisseurs continuent à considérer les actions comme le placement par défaut malgré la durée déjà étendue du cycle haussier des marchés, affirment Guy Wagner (cf. portrait), chief investment officer de la Banque de Luxembourg, et son équipe dans l’analyse mensuelle, les ‘Highlights’.
En février, les marchés boursiers se sont comportés de manière particulièrement favorable, le SP 500 américain et le Dax allemand atteignant de nouveaux records historiques.
L’accord entre le nouveau gouvernement grec et le reste de la zone euro ainsi que la trêve signée à Minsk entre l’Ukraine et les séparatistes pro-russes ont soutenu les marchés. «Depuis le début de l’année, la force du dollar freine quelque peu...
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