Depuis le 1er janvier 2005, les groupes cotés ont cessé d’amortir les goodwills dans les comptes consolidés. Dans le même temps, ils ont dû procéder à des tests "d’impairment" afin de s’assurer que ces goodwills, à défaut d’être amortis, ne devaient pas être dépréciés.
Dans une étude intitulée: "La communication financière sur l’application d’IAS 36 ou la dépréciation d’actifs non financiers - Etude des états financiers des sociétés du CAC 40", le cabinet PricewaterhouseCoopers France a analysé, au travers d’une lecture minutieuse de leurs rapports annuels, la manière dont les sociétés du CAC 40 ont appliqué cette nouvelle norme, plutôt complexe à mettre en œuvre.
Un premier constat: des charges d’impairment faibles en 2005
Marc Gerretsen,...
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