Si le monde de l’Internet ouvre des autoroutes aux banques luxembourgeoises, il représente un vrai chemin de croix pour les assureurs vie en libre prestation de service. Les règles régissant le secteur bancaire sont nettement plus souples que celles auxquelles sont soumises les entreprises d’assurance vie, alors que les produits des uns comme des autres ont fini par beaucoup se ressembler. Coincés dans le cadre étroit de la troisième directive “vie” qui permet à de nombreux protectionnismes nationaux de s’exprimer, les assureurs en LPS avaient espéré faire voler ce carcan en éclat en commercialisant leurs produits via Internet. Mais le projet de directive européenne de décembre 1999 sur le commerce électronique a réduit à néant leurs espoirs…
La communication du 2 février dernier...
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