Un an déjà... L’euro achève sa première année d’existence et le marché obligataire s’est trouvé particulièrement touché par la très forte baisse des taux enregistrée à la fin du printemps, et qui a provoqué un exode massif des investisseurs - les clients finaux plus que les institutionnels - vers des positions en cash ou en actions. Un mouvement dont la brutalité n’a pas manqué de surprendre les spécialistes, qui ne s’attendent pas, pour l’année 2000, de “retour de balancier” spectaculaire, surtout compte tenu des perspectives de croissance dénuées de tendances inflationnistes.
Au Luxembourg, “petit” acteur sur le marché euro-obligataire, on s’est surtout concentré sur des marchés de niche, telles les devises nordiques, en particulier la couronne norvégienne, et les produits...
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