Vérifier que ses clients ne figurent pas sur les black-lists et surveiller leurs transactions afin d’identifier les comportements douteux ou inhabituels sont deux tâches qui s’apparentent de plus en plus à des "travaux d’Hercule" pour les établissements financiers et en particulier pour leur Compliance Officer. Bien que la loi du 12 novembre dernier n’impose pas explicitement le recours à des outils informatiques, force est de constater que le taux d’équipement des professionnels tend à croître sensiblement.
En effet, les outils informatiques ne sont plus seulement mis en œuvre par les "big players" du marché mais commencent à intéresser des établissements de taille beaucoup plus réduite.
Cet article propose de faire le point sur les deux types de solutions,...
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