A lévidence la nouvelle proposition du Comité de Bâle est très attendue par la communauté financière. A cet égard les changements intervenus au cours de lété : date butoir repoussée à 2005, capital minimum requis pour le risque opérationnel passant de 20 à 12% ainsi que les améliorations induites par le Working Paper du 28 Septembre requièrent une clarification du cadre réglementaire.
A loccasion dun déjeuner-conférence tenu le 13 novembre, Bernard Lhoest du Cabinet Andersen a présenté un état des lieux de la législation ainsi que les enjeux sous-jacents pour la place de Luxembourg des réflexions entamées par le Comité de Bâle pour établir les nouvelles règles de supervision des institutions financières en matière de gestion de leurs risques. La...
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