La libéralisation du marché des télécommunications a-t-elle fragilisé l’Entreprise des P&T? Rien n’est moins sûr. Bien sûr, l’apparition des nouveaux opérateurs téléphoniques – et ils se sont presque bousculés aux portes de l’ILT afin d’obtenir leur précieuse licence d’exploitation – ne manquera pas sans doute de rogner quelque peu son chiffre d’affaires dans ce domaine là. Mais les ressources de l’EPT sont suffisamment nombreuses pour parvenir à minimiser les effets de cette “dilution”. A commencer par les compétences Internet de l’opérateur public.
Sur les quelque 25.000 Internautes recensés au Luxembourg, les P&T revendiquent, pour l’heure, une part de marché de 50%. “Une success story qui n’en finit pas” pouvait savourer MM. Tom Kettels, chef de produit commercial Internet...
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