Une équipe internationale composée de chercheurs japonais et luxembourgeois montre pour la première fois que les formes pathologiques de la protéine alpha-synucléine présentes dans le sang des patients peuvent servir au diagnostic de la maladie de Parkinson. Elles permettent également de distinguer plusieurs troubles neurodégénératifs moteurs entre eux.
Ces résultats inédits, récemment publiés dans Nature Medicine, constituent une avancée importante vers la mise au point d’un test diagnostic basé sur une simple prise de sang.
La maladie de Parkinson, la démence à corps de Lewy et l'atrophie multi-systématisée constituent un groupe de maladies neurodégénératives appelés synucléinopathies. Elles sont causées par l'agrégation anormale de la protéine a...
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