Le secteur financier estime que 5.000 postes sont susceptibles d’être redéployés hors de Grande-Bretagne ou créés à l’international d’ici mars 2019 en raison du Brexit, soit moitié moins que ce qu’il anticipait il y a six mois, selon une enquête Reuters publiée mercredi. Dans cette étude, menée auprès des 119 acteurs les plus les plus présents à l’international en Grande-Bretagne, Paris apparaît également désormais comme la place financière la plus prisée pour ces relocalisations, devant Francfort.
Certaines banques ont revu leurs délocalisations à la baisse ayant étudié plus précisément le nombre des activités qu’elles devront déplacer dans l’Union européenne si la Grande-Bretagne perd son accès au marché unique, montre l’enquête. Le ton plus conciliant de la Première...
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