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La volatilité exacerbée des marchés rend extrêmement difficile la valorisation des entreprises, ce qui explique, avec l'assèchement du crédit et les sombres perspectives économiques, la baisse de l'activité des fusions et acquisitions, ont expliqué mercredi 26 novembre deux responsables du bureau d'analyse financière Detroyat Associés. "Les méthodes d'analyses traditionnelles donnent des valorisations complètement déconnectées de ce que l'on peut voir sur les marchés", avance l'associé Philippe Leroy, qui a vu certaines entreprises remettre à plus tard des opérations de retrait de la cote de peur de surpayer des actions pourtant en chute libre. Le risque de dépréciation d'une entreprise achetée dans un climat aussi perturbé est tel que les conseils d'administration hésitent avant d'engager...
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