Analyse de Anders KIRKEBY, Vice-President Enterprise Architecture chez SimCorp
Les premiers robo-advisors existent depuis près de vingt ans dans les services de gestion de patrimoine au États-Unis, mais on les trouve aujourd’hui de plus en plus à travers le monde, dans diverses applications, à bien meilleurs coûts que leurs homologues humains. L’occasion de faire le point sur les opportunités (et les risques) induits par ce développement. Les robo-advisors sont «nés» lorsque les entreprises ont cherché à réduire leurs coûts d’intégration des clients bénéficiaires de retraites et qu’ils ont voulu se démarquer grâce à une meilleure expérience client.
«Les robo-advisors proviennent du profilage très simple effectué par les fournisseurs de...
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