Par Sarah MELLOUET, Fondation IDEA
Face à la crise sanitaire et économique que nous traversons, les soignants comme les politiques nous enjoignent, à travers leur message «bleift doheem», à limiter nos déplacements non essentiels, y compris professionnels. Dans de nombreuses organisations, le télétravail est donc devenu le mode d’organisation «par défaut»[1]. Les autorités l’ont en effet fortement incité comme en témoigne la levée de la limitation (fiscale) du nombre de jours de télétravail pour les salariés frontaliers français et belges. Mais cette solution est loin d’être accessible à tous…
Les chercheurs (entre autres) se demandent régulièrement quels sont les freins au développement du télétravail – ce mode d’organisation dont on loue...
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