Comme les actes d’adhésion en avaient ouvert la possibilité, le gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg avait, en mai 2004, informé la Commission européenne de sa décision d’introduire pour les ressortissants des huit nouveaux États membres des mesures transitoires nationales avant que les travailleurs salariés de ces pays ne bénéficient de la liberté de circulation complète au Luxembourg. En avril 2006 il a été décidé de maintenir en vigueur les mesures nationales appliquées depuis le 1er mai 2004, tout en introduisant un assouplissement du dispositif transitoire dans certains secteurs. Ainsi, à partir du 1er mai 2006, les permis de travail ont été accordés avec bienveillance absolue aux ressortissants des États membres concernés pour les secteurs de l’agriculture, de la viticulture, de...
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