Le secteur financier plombe le PIB
La première révision des comptes nationaux pour 2001 effectuée en été 2002 n'a dégagé qu'une progression du PIB en volume de 1%. La très faible croissance est surtout due à l'évolution en 2001 du secteur financier (y compris les assurances et les autres métiers liés) dont l'activité, mesurée par la valeur ajoutée à prix constants, aurait cédé de 2.7%. Hors services financiers, la valeur ajoutée a encore progressé de quelque 4% en volume. Le secteur financier a donc été dès 2001 un frein à la croissance de l'économie luxembourgeoise.
On a connu ainsi un affaiblissement du secteur "porteur" traditionnel de l'économie luxembourgeoise. En effet, ensemble avec les assurances et les métiers connexes, le secteur représente environ 25%...
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