Réagissant aux informations de presse selon lesquelles Bull ferait l'objet d'une volonté de prise de contrôle de la part de ses créanciers (principalement les porteurs des 200 millions d'euros d'obligations, le groupe français a vivement démenti. Dans un communiqué, le PDG Pierre Bonelli a affirmé "qu'aucun plan émanant de porteurs d'Océanes n'a été pour l'heure ni présenté, ni soumis au groupe". Et le groupe de rappeler qu'il travaille depuis plusieurs mois sur d'autres solutions de recapitalisation, qui impliquent des "sacrifices de la part de l'Etat créancier, des porteurs d'Océanes et des actionnaires actuels".
|