Les ministres européens des Finances ont intégré le Panama, les Seychelles, les îles Caïmans et Palau à la liste noire des paradis fiscaux stigmatisés par l’Union européenne mais ont décidé d’accorder un répit à la Turquie, relève mardi un document officiel de l’UE. Etablie en 2017, la liste noire comprend désormais douze entités dont les transactions financières sont soumises à un contrôle accru et qui risquent de perdre l’accès à des fonds européens.
Y figuraient déjà les Fidji, le sultanat d’Oman, les Samoa, Trinidad et Tobago, le Vanuatu et trois territoires dépendant des Etats-Unis (Guam, les îles Vierges américaines et les Samoa américaines). La Turquie bénéficie pour sa part d’un an de sursis même si elle n’a pas mis à exécution les transferts automatiques...
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