L'échec de l'Union européenne et des Etats-Unis à respecter la date du 1er janvier 2013 pour commencer à appliquer les nouvelles règles de solvabilité des banques ne remettra pas en cause l'accord de Bâle III, ont déclaré les régulateurs. Le comité de Bâle, à l'origine des nouvelles réglementations, a annoncé vendredi, à l'issue d'une réunion de deux jours, que 11 pays étaient prêts à commencer à appliquer ces règles plus strictes de fonds propres et de liquidités. Le comité de Bâle est composé de près de 30 pays, mais deux centres financiers importants, que sont l'Union européenne et les Etats-Unis, retardent la mise en application de l'accord, un élément clé de réponse à la crise financière de 2007-2009.
"Nous nous attendons à ce que lors de la finalisation par les...
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