Les Etats de la zone euro, premiers créanciers de la Grèce, sont prêts à plafonner le coût du service de la dette de celle-ci à 15% du produit intérieur brut (PIB) par an sur le long terme, a-t-on appris de plusieurs responsables de la zone euro.
Le montant consacré chaque année par l'Etat grec au paiement des intérêts et au remboursement de la dette publique pourrait ainsi diminuer en cas de ralentissement économique et augmenter si la croissance est plus soutenue. La Grèce plaide pour une réduction du montant nominal de sa dette aux autres pays de la zone euro, qui atteint aujourd'hui 197 milliards d'euros, mais les ministres des Finances de l'Eurogroupe ont catégoriquement exclu cette hypothèse le mois dernier.
Si la "revue" des réformes mises en...
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