Le coût de la fermeture éventuelle d'une banque de la zone euro sera dans un premier temps supporté presque intégralement par son pays d'origine mais les autres Etats membres augmenteront progressivement leur contribution et le partage sera équitable au bout de dix ans, montre une proposition de la présidence de l'Union que s'est procurée Reuters samedi.
Elaborée par la Lituanie, qui assure jusqu'à la fin du mois la présidence tournante du Conseil européen, cette proposition sera débattue lors d'une réunion extraordinaire de hauts responsables de l'Union lundi. Parvenir à un accord sur ce dossier délicat avant le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement jeudi et vendredi à Bruxelles permettrait à ces derniers de prouver que le projet d'union bancaire, présenté comme...
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