Boris Johnson doit répondre vendredi aux critiques de l’Union européenne accusant Londres de faire preuve de rigidité dans les négociations sur le Brexit et annoncer soit des concessions soit prendre le risque d’une rupture désordonnée à la fin de l’année.
Un “no deal” risque fort de provoquer un vaste chaos et de désorganisant totalement les relations commerciales entre le Royaume-Uni, l’Union européenne et le reste du monde, au moment où une “deuxième vague” de l’épidémie de coronavirus menace la fragile reprise de l’économie mondiale. Lors d’un sommet européen entamé la veille, l’UE a estimé que Londres était à l’origine de l’impasse des négociations sur leurs futures relations à partir du 1er janvier prochain, affirmant qu’il revenait à Boris Johnson de faire des...
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