Par Kevin Doran, Brown Shipley, filiale de KBL European Private Bankers*
D’ici quelques jours, les écossais, appelés à se prononcer sur l’indépendance de leur pays, se rendront aux isoloirs. Selon les derniers sondages, les deux camps sont au coude à coude. Cependant, de nombreux investisseurs tiennent au final la victoire des unionistes pour acquise. Même si la livre sterling est à son plus bas niveau depuis 2013, favorisant le soutien croissant à l’indépendance écossaise, l’industrie semble réticente à tenir compte des conséquences d’un «oui» potentiel. Si la question posée sur les bulletins de vote est simple: «L’Ecosse devrait-elle être un pays indépendant?», il n’en va pas de même pour ses implications et si les partisans du «oui» devaient l’emporter, les...
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