Au deuxième trimestre, les actions et les obligations ont enregistré de bons résultats grâce à l'attitude plus conciliante des banques centrales. La Fed a revu ses prévisions de taux à la baisse et la BCE a, elle aussi, montré des signes d'assouplissement. Cette attitude plus souple s'explique par l'essoufflement de l'activité économique et les tensions commerciales persistantes, commente Keith Wade, chef économiste chez Schroders.
Perspective de croissance économique mondiale médiocre
Ces signaux économiques n’augurent rien de bon pour les bénéfices des entreprises, mais créent une situation propice pour les marchés boursiers. D’après les prévisions de Schroders, les performances de l'économie mondiale au cours des douze prochains...
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