- Nous anticipons des performances positives mais modestes concernant les grandes classes d’actifs
- Au sein des marchés obligataires, nous privilégions les dettes émergentes souveraines et d’entreprises ainsi que les obligations subordonnées financières
- Sur les marchés d’actions, le niveau de la croissance mondiale, le dénouement de la saga du Brexit, l’essoufflement probable de la surperformance du style croissance et le moindre activisme des banques centrales plaident pour une surperformance des actions européennes
S’il fallait résumer les deux dernières années en quatre mots, nous dirions : «don’t fight the Fed!». En 2018, une immense majorité d’actifs risqués a connu une performance négative sous l’effet d’un...
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