Par Olivier Coekelbergs José Aubourg, EY Luxembourg*
Les trois dernières années ont été particulièrement propices aux exits pour les maisons de Private Equity. Celles-ci ont pu surfer sur la vague de plusieurs facteurs favorables, notamment un marché de Fusions Acquisitions très prolifique, des taux d’intérêt extrêmement bas, des grands groupes industriels en quête de nouveaux relais de croissance et des valorisations en forte hausse. Les prochains mois pourraient toutefois être beaucoup plus délicats à gérer.
En effet, l’incertitude sans précédent sur le plan géopolitique et macroéconomique couplée à une accélération des bouleversements technologiques et à une amorce de remontée des taux d’intérêts, au moins aux Etats-Unis,...
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