En 2002, prévoit la Commission, les excédents budgétaires publics diminueront de manière significative, du fait de deux réformes fiscales successives, d’une baisse des recettes en provenance des impôts sur les collectivités et sur les revenus à la suite du ralentissement économique, les dépenses sociales et les investissements publics gardant par ailleurs un niveau soutenu. Le surplus budgétaire global attendu se transformera ainsi, selon la Commission, en un déficit de 1,8% du PIB en 2003 et de 1,9% en 2004. La dette publique atteindra 5,4% en 2004.
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