Par Laurent CAPOLAGHI, Marie-Sophie DERVIEU et Stanislas de KERDREL, EY Luxembourg*
L’appétence des Family Offices pour le capital investissement continue de grandir. D’après Preqin, les investissements effectués par les Family Offices représentent 2,5% du marché global des fusions et acquisitions, une part relativement modérée si on la compare à celle des fonds de Private Equity (PE), mais qui reste en constante augmentation depuis la crise financière de 2009. Ce chiffre en hausse s’explique tant par le souhait des familles d’améliorer la rentabilité de leurs actifs sous gestion, que par leur ancrage entrepreneurial. Pour cette raison, Family Offices et fonds de PE tendent à se retrouver face aux mêmes opportunités d’investissement...
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