Il est trop tôt pour revenir sur les actions ou sur les segments les plus rentables des marchés obligataires en l’absence d’un catalyseur qui pemettrait aux marchés financiers de repartir de l’avant, dit-on chez Robeco. L’approche d’une élection présidentielle américaine dont le verdict promet d’être contesté, la persistance du risque sanitaire et le plafonnement des niveaux de liquidité doivent inciter les investisseurs à la prudence, écrit Peter van der Welle, stratège de la société de gestion, dans une note publiée mardi.
La capacité des banques centrales à soutenir les marchés avec des plans de relance massifs diminue et les excédents de liquidité qui avaient contribué à faire grimper les prix des actions demeurent conséquents mais n’accélèrent plus, argumente-t-il...
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