Les nouveaux acteurs bancaires, à savoir les banques en ligne et les néobanques, peinent pour la plupart à être rentables en raison des dépenses d’investissement et de marketing et de revenus structurellement faibles, indique mercredi l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (Acpr). Dans une étude réalisée auprès de douze établissements bancaires et pour le seul marché français, le superviseur bancaire note que ces banques en ligne et néobanques comme Orange Bank, l’allemand N26 Bank, le britannique Revolut ou encore Compte Nickel (BNP Paribas) et Boursorama (Société générale), sont parvenus à s’imposer dans le paysage bancaire français et qu’elles contribuent à dynamiser l’innovation.
Selon l’Acpr, 6,5% des Français sont aujourd’hui clients de ces nouveaux...
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