Par Jean MARSIA, président de la Société européenne de défense AISBL
Dans la zone Asie-Pacifique, l’ouragan dévastateur annoncé sur la Corée du Nord par M. Trump n’a pas eu lieu. Après avoir lancé cet été de nombreux défis à la communauté internationale, Pyongyang semble marquer une pause car, au Conseil de sécurité des Nations-Unies, les États-Unis, la Chine et la Russie se sont entendus pour accroître les sanctions, et les rendre effectives. Au Japon, le Premier ministre M. Abe s’est lancé dans un pari risqué : des élections anticipées. Elles décideront notamment du type de réponse japonaise à la menace posée par les missiles balistiques et les bombes à hydrogène nord-coréennes. Une des options est d’imiter l’OTAN qui teste, au nord de l’Écosse, des systèmes...
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