La volatilité des marchés boursiers est restée importante ces dernières semaines. Entre l’instabilité croissante du Proche-Orient et les nombreux attentats perpétrés en Irak, les investisseurs ont quelque peu négligé les excellents résultats trimestriels publiés par la plus grande majorité des entreprises, tant aux Etats-Unis qu’en Europe et au Japon. Le dernier discours d’Alan Greenspan et la flambée des prix du pétrole (l’or noir a atteint le 18 mai 2004 son plus haut niveau à New York depuis quatorze ans) ont en outre occulté les bonnes nouvelles macro-économiques de ces dernières semaines, ajoutant encore à la nervosité ambiante. C’est que les mois se suivent et ne se ressemblent pas sur les marchés financiers… Si les marchés boursiers se sont inscrits en nette hausse sur la période...
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