Dans la conjoncture mondiale actuelle, le Luxembourg n'a pas pu échapper à un ralentissement de sa croissance économique, notamment au niveau du secteur financier. Cela implique des diminutions considérables au niveau des recettes provenant des taxes dépendantes de la conjoncture, tels la taxe d'abonnement et le droit d'enregistrement, de la TVA et enfin de l'impôt sur le revenu.
Mais pour le Premier ministre, "La maison ne brûle pas et comme il n'y a pas le feu, nous pouvons nous permettre de garder la tête froide". Pour le projet de budget 2003, le Luxembourg peut avoir recours aux effets amortisseurs au niveau des dépenses que lui procurent les réserves budgétaires et les réserves des fonds spéciaux d'investissement, prudemment constituées au fil des années fastes,...
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