La progression du marché du crédit ces dernières semaines doit davantage à des facteurs techniques qu’aux avancées sur le front d’un vaccin contre le coronavirus, dit-on chez Generali Investments. Parmi ces facteurs figurent le soutien des banques centrales et leurs achats dans cette classe d’actifs mais aussi l’arrivée sur le marché d’une catégorie particulière d’investisseurs, dit à Reuters Benoist Grasset, gérant de portefeuille obligataire pour la branche de gestion d’actifs de l’assureur italien.
“A partir du moment où des mesures monétaires et gouvernementales massives ont été mises en place, ce que s’est dit le marché du crédit, c’est qu’il s’agissait d’un moment difficile à passer et que la crise n’aurait pas d’impact sur la valeur terminale des actifs”, dit-il...
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