Les actions européennes pourraient profiter davantage que les américaines d’une éventuelle baisse de taux de la Réserve fédérale, dont il ne faut de toute façon pas attendre des effets spectaculaires, estime CPR Asset Management. Faisant le constat que l’optimisme affiché en début d’année n’est plus de mise, la société de gestion privilégie pour les mois à venir un scénario de stabilisation de la situation macroéconomique, avec entre autres une prolongation des discussions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine, la perspective d’un Brexit ordonné et un ralentissement modéré de la croissance.
Ces conditions permettraient selon elle une hausse de 2,5% des actions américaines à un horizon de six mois par rapport à leur niveau de fin mai, de 5% au Japon et en Europe...
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