Inquiets de l’état de santé de l’économie mondiale, les investisseurs internationaux ont renforcé leur allocation en cash en novembre, qui a atteint un plus haut depuis près de deux ans, tout en réduisant leur exposition aux actions. Après un mois d’octobre douloureux, les marchés d’actions ne sont pas parvenus à rebondir en novembre, pénalisés pas la chute des valeurs technologiques et du pétrole. Ainsi, Apple, première capitalisation boursière mondiale, et le prix du baril de Brent ont connu ce mois-ci leur pire performance depuis la crise financière de 2008. Les tensions autour de la sortie programmée du Royaume-Uni de l’Union européenne, du budget italien et du commerce international ont aussi pesé sur l’appétit pour les actifs risqués et alimenté les craintes d’un ralentissement de...
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