Par Laurent CAPOLAGHI, Partner, Private Equity Marie-Laure MOUNGUIA, Senior Manager, Private Equity, EY Luxembourg
Jusqu’au 31 décembre 2019, la crise sanitaire du coronavirus pouvait encore être interprétée comme un événement postérieur à la période de reporting qui ne nécessitait pas d’ajustement. Après cette date, et en particulier pour les évaluations du premier trimestre, le risque doit être factorisé. En absence de prix de marché, les évaluations des actifs non-cotés doivent se fonder sur les données disponibles. Ces données englobent tout autant les cours des homologues cotés et les données macroéconomiques que les informations financières des sociétés à évaluer. Si les données de marché sont à date, les informations financières des sociétés sont...
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