UniCredit, la première banque italienne, a assuré à ses actionnaires que la Banque centrale européenne (BCE) était satisfaite du plan de redressement qu'elle lui a présenté et qu'elle ne lui réclamerait pas plus de dépréciations de créances douteuses que celles déjà envisagées, a-t-on appris mardi de source proche du dossier.
Le cours de Bourse d'UniCredit a baissé lundi lorsque la banque a révélé que la BCE lui avait demandé de lui présenter un plan de réduction de ses créances douteuses avant le 28 février, ce qui a fait craindre des mesures supplémentaires de nettoyage du bilan. UniCredit prévoit de lever 13 milliards d'euros de capitaux frais dans les mois à venir pour compenser les dépréciations de créances douteuses et d'autres pertes. Il s'agira du plus...
|