Par Alexander S. Friedman, Global Chief Investment Officer – UBS Wealth Management
Il y a tout juste un an, le Fonds monétaire international (FMI) disait de l’inflation qu’elle était «le chien qui n’a pas aboyé» en référence à la remarquable stabilité des taux de l’inflation des prix à la consommation au lendemain de la crise financière de 2008–2009. Un an plus tard, le chien reste silencieux. Mais, comme tout propriétaire canin le sait, il serait imprudent d’affirmer qu’il en sera toujours ainsi. Il est important que les investisseurs ne sous-estiment pas l’évolution des fondamentaux.
Que ce soit aux Etats-Unis ou dans la zone euro, la dynamique inflationniste donne davantage de fil à retordre, mais sous différentes formes. Suite à la récente vente...
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