Une enquête révèle que le rendement du capital investi, et pas seulement la conformité réglementaire, va encourager les banques internationales à investir dans l’informatique en 2004. Il a été fait grand cas du scepticisme (certains diraient même de l’opposition) affiché par les banques américaines vis à vis de la ratification de l’accord Bâle II. Bâle II présente un nouveau cadre pour la détermination du montant de fonds propres que doivent détenir les banques internationales pour couvrir les risques de crédit, de marché et opérationnels.
Suite aux objections soulevées par les Etats-Unis, le comité de Bâle a accepté de repousser la signature des nouvelles règles de décembre 2003 à juin 2004. Le nouvel accord ne sera donc pas effectif avant fin 2006. Mais nous...
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