Le répit procuré par les deux opérations de LTRO de la Banque Centrale Européenne aura été de courte durée: un trimestre de hausse de l’ensemble des classes d’actifs: actions, obligations, or, pétrole… Au début d’année, l’effet de liquidité avait pleinement joué, renforcé par une évolution encourageante des indicateurs macroéconomiques. L’enthousiasme est aujourd’hui retombé avec l’arrêt du gonflement des bilans des banques centrales, la dégradation des chiffres économiques sur l’ensemble des régions du monde et un retour en force des dissensions politiques européennes. Cela dit rejouons-nous pour autant le scénario de l’année dernière?
Entre le scénario du pire et le scénario du meilleur
Les semestres se succèdent et les questions restent. Le...
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