La crise actuelle constitue un tournant. Les stratégies de mondialisation de nombreuses entreprises connaîtront un changement radical au cours des prochaines années. Si ces dix dernières années, l’économie mondiale a principalement été alimentée par une demande dictée par le crédit émanant des pays de l’OCDE, elle dépendra globalement, au cours des années à venir, de la mesure dans laquelle les économies émergentes pourront développer leur marché national.
"La crise actuelle frappe quelques secteurs de plein fouet (automobile, textile, construction): le nombre de faillites devrait y être le plus élevé", déclare Etienne Defraigne, CEO. Le groupe Euler Hermes prévoit à l’échelle internationale, une augmentation de 35% des faillites d'entreprises, après une progression de 27%...
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