Déjà, dans un entretien avec AGEFI Luxembourg en 1996, Philippe de Broqueville, administrateur-délégue de Petercam, et actuel président de l’association des agents de change, se plaignait du manque de communication des sociétés cotées en Bourse de Luxembourg. Il juge que le volume et surtout la nature des informations distillées par les sociétés luxembourgeoises s’est amélioré depuis lors, mais dans une mesure insuffisante pour contribuer à rendre plus liquides les titres cotés au grand-duché.
Le président de l’AACL déplore le peu d’études réalisées et diffusées sur les titres locaux et la difficulté d’accéder à l’information pour les analystes en dehors des grandes sociétés classiques.
Conséquence: “le développement de la liquidité en Bourse de Luxembourg ne reflète pas l’évolution de...
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