Les investisseurs mondiaux ont augmenté leur exposition aux actions en novembre malgré la fragilité de nombreuses places boursières, tandis que les gérants américains et britanniques ont snobé les obligations d'Etat d'une zone euro frappée par la crise de la dette. Les enquêtes réalisées auprès de 55 grands fonds de gestion aux Etats-Unis, au Japon, au Royaume-Uni et en Europe (hors Royaume-Uni) ont fait ressortir un désir persistant d'investir en actions jusqu'à la fin de l'année.
Ce constat se fait malgré le repli des actions mondiales comme le montre l'indice MSCI qui a reculé de près de 6% par rapport à son plus haut niveau atteint un peu plus tôt dans le mois, en raison des craintes autour de la dette de la zone euro. L'enquête montre aussi que les investisseurs sont...
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