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Apparu peu avant la mi-octobre, le retour des investisseurs optimistes s'est confirmé sur les principales boursières de la planète.
Les turbulences de la fin de l'été dernier ont contraint les principales autorités monétaires à assouplir leurs positions. La Réserve fédérale américaine, rassurée par l'absence de tensions inflationnistes, a baissé, à trois reprises ces dernières semaines, le loyer de son argent. Pour sa part, le numéro un de la banque centrale allemande ne se montre plus farouchement opposé à une éventuelle détente monétaire. Mais si les propos du président de la Bundesbank, selon qui la politique monétaire allemande et européenne ne peut être paralysée par la convergence des taux d'intérêt, ont bien rassuré les milieux financiers, nous pensons toujours que la Bundesbank...
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