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"Si l'on s'adresse à un investisseur étranger, on ne peut manquer de souligner que le marché immobilier commercial belge présente deux grands atouts, explique Éric Van Dyck, Equity Partner chez Healey & Baker. Étant relativement petit, et souffrant d'un manque de bons bâtiments, le marché est donc relativement stable. Et cela même lorsque la conjoncture n'est pas au plus haut.
Ensuite, son second atout réside dans le niveau élevé des rendements."
Alors que les rendements des commerces en Allemagne atteignent péniblement les 5%, selon les chiffres compilés par le courtier britannique, ces dix-huit dernières années, les rendements sur les deux plus grands axes commerciaux belges, à savoir la rue Neuve à Bruxelles, et le Meir à Anvers, ne sont jamais (sauf peut-être une exception) descendus...
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